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600 x 421

L'anniversaire de Nathalie était déjà passé, et nous plongions la tête la première dans les grandes vacances. Les jours passèrent, puis les semaines. Le ton se fit inquiet, de plus en plus suppliant. Des deux côtés, on redoutait la rentrée, qui allait nous séparer.
Pour moi, je sentais mes amarres sauter une à une. J'allais vers une nouvelle vie. Je n'avais pas besoin de m'encombrer de souvenirs.

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442 x 600

La rentrée passa, et la correspondance s'étiolait dangereusement. Ce mot, l'un des derniers que j'ai reçu d'elle, est aussi l'un de ceux qui m'éveuvent le plus encore aujourd'hui. Et même si nous n'étions que des enfants... Que l'on ait pu m'écrire ça, à moi...